La bible, fondation incontournable du communisme sexuel

La bible est un concentré de gynophobie qui donne directement ou indirectement mille raisons de haïr les femmes. De nombreux passages semblent avoir été écrits par des homosexuels refoulés, qui voyaient d'un très mauvais œil les hommes qui eux prenaient du plaisir dans leur relation avec une femme, et les femmes qui prenaient du plaisir dans leur relation avec un homme, alors ça les irritait au point de vouloir interdire tout contact reproducteur, véritable fantasme dystopique d'un homorefoulé hétérophobe. Et dire qu'ils sont arrivés à étendre leur domination en pourrissant les élites européennes et en commençant par la tête de l'empire romain, pendant 1500 ans...

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Paul dans "La Bible du Semeur" :

Pour ce qui concerne les choses dont vous m'avez écrit, je pense qu'il est bon pour l'homme de ne point toucher de femme. Toutefois, pour éviter l'impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari.… ( 1 Corinthiens 7:1-2 )

Le communisme sexuel chrétien défini par la bible vise donc à attribuer toute femme à un homme, et à livrer une femme à chaque homme, dans le but d'interdire le maximum de rapports hétérosexuels. En effet, dans le couple chrétien, la sexualité se réduit à la reproduction et au devoir de l'épouse de se soumettre au viol par crainte de dieu-Yahvé, le fameux "devoir conjugal". D'ailleurs, si elle est une bonne épouse chrétienne, elle ne doit pas désirer le rapport sexuel, uniquement s'y soumettre rituellement. C'est le viol rituel chrétien procréatif. Dans le christianisme, les rapports hétérosexuels doivent être réduits au strict minimum reproducteur, mais chaque rapport DOIT être un viol conjugal béni par dieu-Yahvé.

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C'est magnifique :joy:

On pourrait ajouter une constante des religions du désert, à savoir l'interdiction du rapport sexuel pendant les règles, ainsi que la réprobation unanime de la sodomie. Ces 2 pratiques ont pour point commun de réduire le sexe au plaisir, puisqu'elles sont exclues de la logique reproductive.

Les heterophobes abrahamiques ont de tout temps criminalisé la sodomie et fait dormir les femmes réglées dans la grange.

Évidemment, la condamnation de l'homosexualité et de la masturbation obéit à une logique identique.

Les homosexuels refoulés à l'origine de ces règles absurdes, n'eprouvant aucun plaisir dans leur rapport aux femmes, ont voulu contraindre l'ensemble de la population à ne pas en éprouver non plus.

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Cette heterophobie a fabriqué des générations entières de vierges folles et d'hysteriques, puisqu'elle introduit chez la femme une dissonance cognitive trop grande entre son ça (ses désirs profonds) et son surmoi (son système de valeur, ses interdits, ses tabous),d'où l'hysterisation de son Moi.

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Contrairement à ce qu'affirme les déclinologues conservateurs, la diabolisation de la sexualité est tjrs très présente en occident, et fabrique à la chaîne des gens fous.

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L'interdiction du sexe oral et de la masturbation aussi, bien sûr. D'ailleurs leur concept d'onanisme, c'est tout le sexe récréatif non-reproducteur, pas juste la masturbation.

Oui, c'est dans une logique d'égalité entre les homosexuels et les hétérosexuels que les pères maghrébins de l'Église catholique ont établi l'interdiction solidaire de toutes les formes de sexualité hétérosexuelles vécues par plaisir. Le fait de considérer tous les rapports sexuels comme sales est aussi un moyen de réparer l'injustice du côté salissant et souvent mal vécu par leur amour-propre de la sodomie. La schizophrénie d'attraction-répulsion envers l'acte sexuel est, avec la notion même de "tentation", un élément caractéristique de l'homosexualité refoulée.

Les militants gays qui font parfois — trop peu souvent pour que ce ne soit pas suspect — remarquer que l'Église a persécuté les homosexuels pratiquants ont évidemment raison, mais ils oublient de rappeler combien l'Église a persécuté le sexe non-procréatif entre homme et femme. Il est très clairement établi dans le christianisme qu'un homme qui désire même sa femme se rend coupable d'adultère et elle de séduction / tentation.

Les gays sont trop souvent muets sur la manière dont l'Église a toujours toléré et même attiré jusque dans ses rangs les homosexuels, tant qu'ils s'abstenaient de tout rapport physique. Les monastères étaient littéralement des lieux de retraite pour homosexuels, permettant aux familles d'éloignant un de leurs fils diagnostiqué homosexuel.

Les mots sont parlants : il était question de sodomites, et non d'homosexuels. Seul l'acte de sodomie en lui-même, désignant plus largement tous les comportements homosexuels physiques masculins, était vu par les chrétiens comme un crime moral passible du sciement de l'entrejambe du condamné. Et encore, ils mélangeaient les violeurs d'enfants avec les actes homosexuels entre adultes consentants.

À l'instar de la laïcité qui ne reconnaît aucune religion, l'Église ne reconnaît aucune sexualité. Ils ne tolèrent que les rapports reproducteurs entre hommes et femmes, mais même l'hétérosexualité conjugale est un péché capital. Chez les chrétiens, enfiler un préservatif n'est pas mieux vu qu'enfiler un homme.

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Ce passage de la bible est vraiment hallucinant un véritable concentré de gynophobie mélangé à du communisme, c'est ce même Paul qui ordonnait aux femmes de porter le voile, le christianisme un proto islam, d'ailleurs dans le film Agora les chrétiens ont des têtes d'arabes et se comportent comme les musulmans d'aujourd'hui.

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